|
| Accueil |
Créer un blog |
Accès membres |
Tous les blogs |
Meetic 3 jours gratuit |
Meetic Affinity 3 jours gratuit |
Rainbow's Lips |
Badoo |
[ Vieux ] [ Lamour ] [ Maximrasta ] [ bebe ]
|
|
|
|
Rôle et responsabilités de l’animateur
27/04/2007 03:14
Animer égale faire vivre L’animateur a la charge de faire de l’enfant, de l’adolescent un homme de demain : l’apprendre a être responsable Tenir compte que l’enfant est un individu qu’il faut former au profit d’une société, d’un idéal ; autour des idéaux de la croix rouge qu’il doit former sa volonté intérieure par un contraire extérieure (sens de dépassement) ce qui nous emmène a considérer que le jeune étant de la matière vivante, son approche nécessite une préparation psychologique, physique et matérielle de l’animateur 1) Rôle Il doit aider les jeunes a s’organiser les initier a la responsabilité du groupe. Les apprendre à partager et aider veiller à l’attitude, à la discipline, à l’expression. Veiller a la sécurité passive ou active. Il faut emmène les jeunes a proposer, aimer ou apprécier les activités proposes. Proposer, susciter des activités qui intéressent les jeunes en conformité aux idéaux de la croix rouge, l’animateur doit veiller à l’esprit du groupe, a la tenue réglementaire. Il doit être le symbole se la justice et de la paix 2) Qualité de l’animateur Un animateur est un éducateur. Il doit être le premier exemple. Il est le moteur. Il se doit être l’élément moteur de la vie du groupe .il se doit simple sympathiques , dynamique , ponctuel , ordonne , simple , astucieux aux yeux des jeunes qui lui sont confies . Il doit apparaître comme une lumière qui éclaire le chemin parfois obscur. Il doit incarner la devise de la croix rouge 3 Responsabilités : Un parent qui te confie son enfant, te donne une partie de lui-même Le droit Sénégalaise impose a tout individu une règle de comportement selon la quelle il lui est fait de différence de causer un préjudice a autrui. Ainsi, chaque fois qu’un tort est cause a autrui, l’auteur du méfait s’expose a subir a titre sanction, les rigueurs de la responsabilités civile 1) Défaut de surveillance (brutalité) 2) Manque de soins (coups et blessures) 3) Mauvais traitement (atteintes aux bonnes mœurs)
- Incitation a la débouche Par ailleurs la vie a collectivité, à ses principes il faut donc que le responsable connaisse a qui confier une groupe de jeunes. Il faut une confiance réciproque sans la quelle il ne peut y avoir une sécurité. Il faut aussi une compréhension, une tolérance, le respect mutuel, l’estime réciproque, la discipline qui normalement nous conduit a l’ordre. Il faut qu’il est un esprit de groupe chez les jeunes le bon ANIMATEUR est considère de par ses actes, sa façon d’agir, son sens moral, sa façon de voir les choses, sa tolérance, son sens positif. Cependant, l’animateur doit oser de toue son autorité parce qu’il doit y voir adhésion véritable de la règle de vie, à l’esprit de groupe on respecte la discipline. Les rapports établis doivent permettre a chacun de se limiter, chacun sait ce qu’il doit faire au sein du groupe. Il n’est pas besoin pour un groupe de dresser un règlement intérieur ; mais il y’a un règle de vie acceptée VIVRE BON ESPRIT DE GROUPE, LE RESPECT DE SMEMBRES LE SUNS PAR RAPPORT AUX AUTRE
| |
|
|
|
|
|
|
|
Vous connaissez tous les Dreadlocks
13/04/2007 02:26
Vous connaissez tous les Dreadlocks, que certains appellent "dread", "locks", "rasta", "tresse" et la plupart d'entre vous les associent à des tas de clichés qui alimentent la vision du rasta, du rebelle, ou de je ne sais quoi
La plupart d'entre vous on également pu remarquer l'extension du phénomène dreadlocks dans la société, récupéré par de nombreux groupes ethniques ou culturels post-modernes, tels les technomen, les skateurs, les fashion.... c'est devenu un style, et plus même, une mode. Combien de dread man peut on voir dans des publicités ou dans des séries télévisées ? Oui il est de bonne augure dans nos sociétés de connaitre un dread, peu importe qu'il soit rasta, car il représente une certaine forme de marginalité, d'originalité, et en se faisant son ami on devient vite quelqu'un de tolérant. En ce début de 21ème siècle il est bien obsolète de montrer un noir, ou un arabe dans une pub, pour signifier l'intégration, ce n'est pas politiquement correct, et "l'égalité raciale" doit être fondée dans tous les esprits depuis longtemps maintenant (le racisme est d'ailleurs condamné par la loi). Donc aujourd'hui, les princes du marketing ont trouvé la faille pour signifier l'intégration dans nos sociétés, ils se servent du "marginal", du "déviant", de "l'original", et qui ou quoi de plus représentatif que les dreadlocks, ou le rasta, qui comme tout le monde le sait d'avance, est sympa!!! Avec tout le côté glaçant que ça a, on remarque quand même que ce phénomène est particulièrement utilisé par rapport aux nouvelles technologies, et finalement c'est déjà un progrès de ne plus voir le rasta défoncé, ou juste sympa! Le but de ce dossier n'est pas de critiquer ou d'expliquer quoi que ce soit. Son objectif est de vous faire un peu connaître les dreadlocks, leur origine, particulièrement au sein de la communauté rasta en Jamaïque, ainsi peut être éviterons nous certains amalgames par la suite. Bien que les rastas ne portent pas tous les dreadlocks, bien souvent leur apparence "très chevelue" est un signe distinctif. Les dreadlocks sont obtenues en lavant simplement les cheveux et en cessant de les coiffer, elles sont donc le fruit de l'emmellage, les cheveux finissent ainsi à se mettre naturellement en dreadlocks, ou "natty dread" (de Knotty, par référence aux noeuds qui constituent les nattes). "Dread" : redoutable, terrible, exprime la crainte que les Rasta ont longtemps inspirée à la population jamaïcaine ; ils se nomment eux mêmes "the dreads" : les "terribles", avec le double sens proche de celui que nous connaissons en français. Leonard Barett (The rastafarians, the dreadlocks of
" 1977) explique que le mot "dread" signifie "Power, Freedom and defiance". "Locks" (littéralement, mèche, boucle) désigne la forme que prend la coiffure, en longues mèches. C'est le groupe rasta de Back O Wall, les Youth Black Faith (deuxième génération de rastas), qui à la fin des années 40, va inventer le mot "dreadlocks", pour être plus précis, disons que c'est cette génération de rasta qui va élaborer ce que nous connaissons aujourd'hui du folklore rasta, les prières, la musique, les rituels, le I-talk et les dreadlocks. Contrairement à ce que l'on croit, il semblerait que les premiers rastas, dans les années 30, n'aient pas adopté cette coiffure. La majorité des hommes portaient la barbe et les cheveux "laineux" comme sa majesté Ras Tafari, ils étaient stigmatisés comme tels et étaient appelés "les barbus". Certains écrits semblent également mettre en lumière le fait que les dreadlocks existaient tout de même déjà au Pinnacle, où certains les avaient adoptés (surtout les gardes, appelés "Ethiopian Warriors" ou "Montain Lion" (années 30)) et les appelaient Jatawi, comme les Indiens. Mais Howell, fondateur du Pinnacle, et précurseur rasta, n'encouragea jamais ce signe extérieur de rebellion qui sigmatise les adeptes de Rastafari. C'est donc vers la fin des années 40 et le début des années 50, que le terme dreadlocks est apparu, avec sa signification rasta. Ceux ci justifient leur coiffure par
la Bible
, leur donnant un caractère sacré : "Vous ne couperez point en rond les coins de votre chevelure, et tu ne raseras point les coins de ta barbe." (lévithique 19-27) "Les sacrificateurs ne se feront point de tonsure sur la tête, ils ne raseront point les coins de leur barbe et ils ne feront point d'incision dans leur chair" (lévithique 21-5) "Pendant tout le temps de son naziréat, le rasoir ne passera point sur sa tête ; jusqu'à l'accomplissement des jours pour lesquels il s'est consacré à l'Eternel, il sera saint, il laissera croître librement ses cheveux." (Nombre 6-5) Il semble fondé à présent que ce soit à ces commandement bibliques que se réfèrent les rastas pour expliquer pourquoi ils gardent leurs cheveux très longs et non coiffés, comme symbole d'une nouvelle identité, mais on peut aussi remarquer diverses influences extérieures qui ont certainement influencé les jeunes rastas de la fin des 40's, mais qui ne transparaissent pas toujours dans le culte, rejetées par certains, peut être parce que pas assez africaines. On notera principalement l'influence des sages indiens, nommés Sadhûs, présent depuis la fin du XIX ème siècle en Jamaïque, et qui à priori, ont vécu à proximité ou au sein des camps rastas. (Selon une étude de vieilles photographies, du Prof. Mansingh "Rasta Indian connection") . Les dreadlocks se répandront dans les années 1960, principalement dans les ghettos Ouest de Kingston, à partir du moment où elles acquerront leur statuts anti-establishment. Elles signifient alors l'éveil d'une conscience radicale, et leur longueur permet de savoir la durée d'implication dans le mouvement, le processus de la prise de conscience s'exprime parallèlement à la lente poussée des cheveux.
| |
|
|
|
|